Mortal Engines




 
Réalisateur :
  Christian RIVERS
Acteurs :
  Hera Hilmar, Robert Sheehan, Hugo Weaving, ...
     
Genre :
  Science fiction, Aventure, Action
Durée :
  2 h 08
Date de sortie :
  12/12/2018
Titre original :
  Mortal Engines
   
Note "critique" :
  1,75
 Classement 2018
  56 / 108

Résumé :
.O

xx
.O.
Des centaines d’années après qu’un évènement apocalyptique a détruit la Terre, l’humanité s’est adaptée pour survivre en trouvant un nouveau mode de vie. Ainsi, de gigantesques villes mobiles errent sur Terre prenant sans pitié le pouvoir sur d’autres villes mobiles plus petites.
Tom Natsworthy - originaire du niveau inférieur de la grande ville mobile de Londres – se bat pour sa propre survie après sa mauvaise rencontre avec la dangereuse fugitive Hester Shaw. Deux personnages que tout oppose, qui n’étaient pas destinés à se croiser, vont alors former une alliance hors du commun, destinée à bouleverser le futur.
.O.

Xavier
@ @ (-)

.O.
14/12/2018
La bande-annonce était "imposante" et le nom de Peter Jackson écrit quasiment plus gros que celui de Christian Rivers  alors que c'est le second qui réalise le film, le premier se contentant de le produire...

Le résultat est prévisible avec une histoire déjà vue des milliards de fois, Star Wars ayant visiblement siphonné les grandes thématiques pour les scénaristes hollywoodiens qui feraient bien d'arrêter de manger tous à la même cantine.

Ce qui sauve le film, ce ne sont pas ses acteurs qui sont interchangeables mais sa ligne visuelle qui est clairement faite pour le cinéma : ces villes mouvantes sont impressionnantes et quand on les quitte, les passages sur la Terre ferme n'ont rien à envier aux grandes étendues du Seigneur des Anneaux.

Le film aurait pu faire un joli parallèle entre ce monde futuriste et le notre, j'ai d'ailleurs cru un bon moment que son prétexte d'anticipation, il proposait sans le dire la vision "opposé" de l'immigration. Reprenez l'histoire : des villes qui se déplacent et qui se bouffent les unes les autres pour survivre tentent périodiquement de détruire le mur qui permet d'accéder à la vallée d'à côté où tout semble paisible.

Je dis bien "tout semble" car nous ne connaîtrons pas grand-chose de la vie derrière le mur et les gardiens qui ressemblent à des moines bouddhistes ne nous aideront pas beaucoup puisqu'à la fin ils accueillent à bras ouverts les habitants de cette ville qui a failli les exterminer. Du coup, vous ne comprenez pas la problématique du film ? Normal : il n'y en a pas !

Si quelques clins d'oeil amusant à la culture des années 2000 sont faits au début du film, la suite se passer en de multiples affrontements père/fille sans grand intérêt. Un personnage sera plus intrigant que les autres : ce robot qui sera au final une figure paternelle de plus  dans le film qui se retournera contre sa fille... on en parle ou pas ? Non, pas vraiment car il sera évacué en deux coups de tatanes alors qu'il est réputé quasi indestructible... ah la la...

Ce " Mortal Engines" est donc à la fois décevant et plein de surprises... ce n'est pas suffisant pour en faire un grand film mais dans ce dernier trimestre au niveau bien bas, il surnage et accrochera peut-être la moyenne. En ce moment, je vous assure que ce n'est pas si courant !
.O.


Première :
¤ ¤
 
Studio / Ciné Live :
# ?
.O.
Au final, à force de ressembler à plein d’autres œuvres, Mortal Engines s’efface peu à peu derrière ses modèles et laisse une impression de déjà-vu. Reste qu’à défaut d’un épisode de Star Wars en cette fin d’année, il devrait tout de même satisfaire les amateurs de SF et de bravoure visuelle.

.O.


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